Blog Plemi

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jeudi 28 juin 2012

Interview de DEEP KICK (en concert au Batofar le dimanche 1er juillet)

Largement sollicité avec plus de 80 pré-réservations vendues, Deep Kick (page Plemi) sera à l’affiche de la prochaine soirée Rock your week-end, qui aura lieu le dimanche 1er juillet au Batofar, et pour laquelle vous pouvez toujours réserver vos places.

>> Réserver ma place pour Deep Kick à Paris <<

(10 euros en ligne au lieu de 12 € sur place)

Malgré une certaine renommée dans leur pays d’origine, la Suisse, le groupe reste peu connu du public français. Afin de vous faire découvrir ce trio frais et énergique, Plemi a donc posé quelques questions à David, Filo et Fantin.

deep-kick-live


INTERVIEW DE DEEP KICK

PLEMI : Votre nom est-il inspiré de Deep Kick, la chanson de l’album One Hot Minute des Red Hot Chili Peppers ? Sont-ils votre influence principale ?

Ce nom était plus un clin d'oeil qu'autre chose. Il nous a surtout parlé parce qu'il nous correspond : court, frais et punchy ! Pour ce qui est de l'influence des Red Hot, on ne cache pas que David, notre bassiste, a passablement été inspiré par le funk, notamment le son funk-rock des Red Hot. Et étant notre force créatrice principale lorsque l'on compose, c'est peut-être pour ça que l'on en perçoit des réminiscences dans notre musique. C'est vrai qu'on entend souvent cette remarque, et même si c'est flatteur évidemment, c'est toujours à double-tranchant car les gens seraient vite tentés de s'imaginer qu'on essaie de ressembler aux Red Hot.
Notre musique est un mélange de plein de styles, loin d'être uniquement "Pepperienne", mais les gens ont parfois le mauvais réflexe, en remarquant que la basse est autant mise en avant dans notre son -ce qui est assez rare- d'y voir un lien avec Flea... Le côté slap n'aidant pas. On est très vite étiqueté dans la musique, mais il faut voir plus loin, et l'on recommande à nos auditeurs d'écouter tous nos morceaux avant de nous comparer à un seul groupe.


Il y a pas mal de buzz autour de vous sur Internet, et vous avez des fans jusqu’en Australie et aux Etats-Unis ! Vous attendiez-vous à un tel engouement quand vous avez créé le groupe ?

Ce genre de chose est impossible à prévoir, et la surprise est d'autant plus belle pour nous ! Envoyer des EP en Asie, en Océanie ou en Amérique est une chose à laquelle il est difficile de s'habituer. C'est toujours un sentiment assez magnifique, qui confirme que la musique casse les frontières ! La difficulté, maintenant, est de pouvoir jouer en concert pour tous ces gens qui nous écoutent et nous demandent. De transformer tout ce soutien virtuel en un public dans des salles. Et ça, c'est une autre paire de manches. Mais on y travaille, et on y arrivera un jour !


Vous venez de sortir un EP contenant toutes vos b-sides : c’est une demande des fans ou une volonté de votre part ?

Un peu des deux en fait. Ces b-sides n'étaient vendus qu'en version digitale, or pas mal de fans sont accro au disque physique -et ils ont bien raison !-, c'est pourquoi nous avons fait ces EP et les avons intégré dans notre shop en ligne. De plus, cela nous a permis d'avoir quelque chose de neuf à vendre à nos concerts cette année, en attendant notre prochain album.

deep-kick-busted


Vous jouez aussi bien dans des petites salles que devant d’énormes foules (comme lors du Schoolwave Festival d’Athènes), vous préférez les grosses scènes ou les lieux plus intimistes ?

Dans l'idéal les grosses scènes, mais les deux nous conviennent, ce qui nous intéresse c'est surtout que le public soit surmotivé ! On préférera par exemple une petite salle pleine avec un public furieux, plutôt qu'une grosse scène à la foule très clairsemée... Mais c'est vrai qu'on a eu de la chance à Athènes, puisque tu en donnes l'exemple, on a eu la grosse scène ET le public de folie !


C’est la deuxième fois que vous jouez en France, mais la première fois à Paris : vous êtes plutôt stressés ou excités de découvrir votre public parisien, réputé pour être particulièrement exigeant ?

Stressés n'est pas le mot, je parlerais plutôt d'une pression positive. On est vraiment excités à l'idée de cette date, ça faisait longtemps que des parisiens nous réclamaient et que l'on arrivait pas à organiser quelque chose dans la capitale, maintenant c'est enfin bon ! Et de savoir qu'autant de gens (au moins 80, si l'on se fie à Plemi) ont réservé leur place rien que pour nous, on se dit qu'on aura de toute façon un public connaisseur et motivé !


Vous partagez l’affiche avec Mad keeper’s, Hero of the day et Only for the girls : ce sont des groupes que vous connaissez ?

Malheureusement pas, mais on se réjouit de les découvrir ! On a pu voir quelques vidéos de Mad Keeper's, dont le son est, je crois, assez proche du nôtre, en tout cas dans l'énergie. Ils ont l'air vraiment bien !


Plemi vous permet de repérer les villes où vous êtes demandés en concert. C'est un outil qui vous paraît utile pour organiser vos prochaines dates ?

On a toujours gardé un œil sur Plemi et on continuera à le faire, c'est sûr ! Le concept est bien pensé. Maintenant, si on pouvait avoir des propositions directes de bookers de France, on ne dit clairement pas non !


En attendant de découvrir Deep Kick sur scène, écoutez leur musique sur Deepkickband.com, Myspace, et rejoignez-les sur Facebook !

vendredi 30 décembre 2011

Interview de Lazy Lola

Tout droits sortis de leur Land of Truth, les Lazy Lola offraient au Batofar une jolie performance musicale le 15 novembre 2011. On vous en publiait d'ailleurs quelques jolies photos. Leur concert, pendant une soirée You Rock, avait été rendu possible grâce aux 41 pré-réservations enregistrées, sur les 20 nécessaires à la confirmation de l'événement (en savoir plus sur les concerts participatifs).

Avec un peu de retard, nous publions leur interview !

Visuel du groupe rock Lazy Lola

PLEMI : D'où est venue l'idée du Land of Truth et de tout votre univers onirique et fantastique ?

LAZY LOLA : Tout a commencé avec l'idée des animaux mystiques... Il fallait bien qu'ils soient quelque part, the land of truth était la réponse... C'est un endroit très particulier, une autre dimension... Pour voir des images du land of truth, il suffit d'aller sur la page Facebook.


Vous êtes un groupe franco-dominicain [Chloë est française, Gabriel et Ana sont dominicains] : vos origines ont-elles influencé votre musique ?

Oui, certainement même si c'est d'une façon indirecte.


Sur scène, votre formation évolue puisque un batteur vous accompagne : qu'est-ce que ça apporte de plus à votre musique ?

Un autre niveau, beaucoup plus de puissance, un aspect plus rock et une autre couche de mystère.


Vous comptez sur les concerts pour promouvoir votre EP ou au contraire vous attendiez la sortie du EP pour démarcher des salles ?

C'est un double mouvement. Pour l'instant, on prépare encore la sortie matérielle de l'EP qui est déjà en ligne... Bientôt l'EP sera en vente lors des concerts, en édition limitée, on pourra aussi démarcher grâce à cela. On en est très contents car il reflète le travail de plusieurs artistes qui ont aimé travailler sur l'idée des animaux mystiques...


Plemi vous permet de repérer les villes où vos fans veulent vous voir en concert (http://www.plemi.com/fr/groupe/lazy-lola/demandes). C'est un outil qui vous paraît utile ?

Oui, bien sûr! Plemi nous a permis de jouer au Batofar, déjà, au sein d'une soirée YOU ROCK. L'idée d'être demandés par le public paraît bonne, mais après pour jouer plus, et aussi en province, par exemple, il faut se faire connaître.

Demander Lazy Lola en concert sur Plemi

Vous avez un groupe de musique, voici comment faire un concert au Batofar avec Plemi et les soirées You Rock.

lundi 19 décembre 2011

Interview de Garibaldi (concert au Batofar - 20 décembre 2011)

Garibaldi est la sélection Plemi mardi 20 décembre au Batofar à partir de 20h : le groupe de rock français a dépassé l'objectif de 20 pré-réservations pour valider sa participation à la soirée You Rock ! Il est encore temps de prendre votre place !

>> Réserver ma place en ligne <<

(10 euros en ligne au lieu de 13 € sur place)

Garibaldi n'est pas né en 1807 à Nice mais en 2010 à Paris. Le groupe est d'abord le fruit de la rencontre d'un chanteur, Alban, et d'un guitariste, Alex. Rejoints par deux Julien, l'un à la basse, l'autre à la batterie, avant de laisser la place à un autre batteur : Cyril. Garibaldi Ils s'attaquent à ce qui effraie beaucoup de groupes de l'Hexagone : faire du rock en italien français. Force est de constater qu'ils s'en sortent bien ! Ils ont répondu à nos questions (en français, bien sûr).

alt : Noomiz


INTERVIEW DE GARIBALDI

PLEMI : Au début on s'est dit que vous étiez peut-être Italiens. Et puis en fait non. Garibaldi, ça vous est venu comment ?

C'est toujours difficile de trouver un nom de groupe... Encore plus pour un groupe français. L'histoire du personnage, tour à tour militaire, pirate puis révolutionnaire nous a plu. C'est aussi le nom de la station de métro le plus flashy de la ligne 13.


Vous avez enregistré un très beau titre en hommage à Elisabeth Taylor (en écoute sur Facebook). C'était la femme ultime selon vous ?

Femme ultime peut être pas mais plutôt un mythe ou une icône. Difficile de trouver le même genre d'actrice actuellement.


On a pu vous voir à La Bellevilloise, à L'Espace B. Vous jouez bientôt au Batofar et au Scop'Club. Vous avez un bon tourneur ?

Le meilleur... C'est à dire nous pour l'instant. On se démène beaucoup pour trouver des dates et ça fonctionne assez bien. Mais ce n'est pas notre job donc on cherche évidemment toujours un tourneur.


Vous faites aussi de plus petites salles comme des cafés-concerts ou des bars ?

Oui on a joué dernièrement dans des Pubs comme la Guinness Tavern ou le Corcoran's à Paris. En fait on joue là où on nous accepte.


Jusqu'ici, les groupes qu'on a fait programmer au Batofar chantaient essentiellement en anglais. Vous avez choisi la langue française. D'où vient cette démarche pas si courante en rock à l'heure actuelle ?

La langue anglaise c'est à coup sur la langue du rock. Maintenant on n'est pas Anglais donc chanter en français est vite apparu comme une évidence. C'est peu courant c'est vrai, mais on a pris le risque et c'est payant.


Ça vous parait être un atout pour démarcher les programmateurs de concerts en France ?

Non ça n'est pas un atout pour avoir plus de programmations au contraire. Le monde de la musique est devenu très uniforme et la plupart des groupes indés chantent en anglais. C'est donc bizarrement plutôt un handicap...

Affiche soirée YOU ROCK au Batofar le 20 décembre 2011

Mardi soir au Batofar, LYS sera également sur scène pendant la soirée. Vous les connaissez bien ?

Oui surtout Nico, le chanteur, avec lequel Alex (guitariste de Garibaldi) a tourné il y a quelques temps. C'est un très bon groupe et on est ravis de partager l'affiche avec eux au Batofar.


Plemi vous permet de repérer les villes où vos fans veulent vous voir en concert. C'est un outil que vous comptez utiliser à l'avenir ?

Oui bien sûr. Tous les nouveaux réseaux internet sont forcément à exploiter. Connaître les villes qui nous veulent en concert est absolument nécessaire dans l'organisation d'une tournée.


Demander un concert de Garibaldi dans votre ville ?

mercredi 14 décembre 2011

Interview : Sophie Maurin et Kid With No Eyes (concert le 18 décembre à Paris)

Le Ciné 13 Théâtre à Montmartre (Paris)

Après Arthur Le Forestier & Mateo, le Ciné 13 programme un second concert grâce à la billetterie en pré-réservation de Plemi.

Il est encore temps de prendre votre place pour le concert acoustique de Sophie Maurin et Kid With No Eyes, dimanche 18 décembre 2011 au Ciné 13 Théâtre à Paris.

>> Réserver ma place en ligne <<

(à partir de 13,50 €uros)

En bonus, pour vous faire découvrir ces deux artistes, Plemi leur a posé quelques questions sur leur rapport à la scène et la préparation de ce concert acoustique.

INTERVIEW DE SOPHIE MAURIN

Sophie Maurin

alt : Noomiz

La scène est un point important du développement de ta carrière artistique ?

Évidemment. Elle est l’aboutissement du travail de création. Les concerts permettent de tester les nouveaux morceaux, différents arrangements, mais surtout de rencontrer notre public, de l’écouter aussi. Le but étant de faire plaisir et de se faire plaisir en live ! C’est généralement pour monter sur scène que les musiciens jouent... en tous cas, c’est en grande partie pour ça que je fais de la musique !


Ton concert au Ciné 13 sera en acoustique. Tu as dû modifier ton set habituel ?

Le principal changement a été de trouver une alternative à la grosse caisse. Fred a réussi à bidouiller un chouette son avec une caisse en plastique. Sinon, ma musique et notre formule habituelle sur scène sont justement très acoustiques, c’est pourquoi la proposition du Ciné 13 nous a séduits.
De plus, notre set est relativement compliqué à amplifier. Cela provient notamment de la présence du violoncelle et d’une multitude de percussions et de petits instruments comme l'udu, les kalimbas, le toy piano, le mélodica, le springdrum, ... Donc dimanche, nous gérerons nous-mêmes notre volume et nos sons, cela nous plaît.


Le Ciné 13 est une salle de théâtre, intimiste et cosy, c'est une ambiance que tu apprécies pour un concert ?

Nous sommes ravis de jouer dans de telles conditions. Les fauteuils rouges, le rideau, c’est une salle aux détails raffinés. L’ambiance intimiste et la proximité avec le public sont appréciables également. L’histoire du lieu aussi me parle (le quartier du Moulin de la Galette, la performance de Gonzalez).
L’endroit nous a inspiré plusieurs nouveautés scéniques pour « contextualiser » un peu la soirée. On ne joue pas tous les jours dans un cinéma ! Donc normalement, vous découvrirez quelques surprises (chansons inédites et mises en scène inhabituelles). J’en ai déjà trop dévoilé...


Plemi te permet de repérer les villes où tes fans veulent te voir en concert. C'est un outil qui te paraît utile ?

L’outil est intéressant puisqu’il est assez difficile pour un artiste en développement, sans tourneur, ni manager, de jouer dans de belles salles. Plemi est capable de nous aider à quantifier la demande du public dans une ville donnée. Selon les résultats, cela peut aussi nous apporter un peu de crédit vis à vis des programmateurs.

À votre tour : demandez Sophie Maurin en concert et faites-la venir dans de belles salles comme le Ciné 13 !


INTERVIEW DE KID WITH NO EYES

Kid With No Eyes

alt : Noomiz

Ton concert au Ciné 13 sera en acoustique. Tu as dû modifier ton set habituel ?

Bah habituellement je suis accompagné par le groupe Stomp ou un joueur de Steel-Drum donc il est vrai que mon set doit quelque peu être remodelé pour l'occasion. Séduire le public avec une simple guitare acoustique est un défi que je compte relever. Mais pour tout vous dire, je balise grave.


Tu as fait la première partie de Yael Naim à L'Olympia, c'est difficile de conquérir en quelques morceaux le public d'une artiste réputée ?

Non, absolument pas, je les ai calmé en deux secondes. Les trois-quarts des femmes présentes ont versé leur larmichette donc mission accomplie. Yael a deux bras tout comme moi, on mange des accras ensemble, c'est assez sympa, j'avoue. Par contre, je pense qu'elle doit avoir un cœur en plus, tout comme David Donatien, pour m'avoir pris sous son aile afin de produire mon premier album. J'en suis même certain, à vérifier quand-même...


Ton premier album est en cours d'élaboration, tu as déjà quelques morceaux que tu présenteras au Ciné 13 dimanche prochain ?

Non, je préfère garder tout ça secret, je suis très pudique comme garçon. Je vais probablement jouer les morceaux de mon second album, ce qui me permettra de savoir si après ma Victoire de la Musique "Album de l'Année", j'aurai des chances de durer dans le temps et refaire un second album avec les plus grands.


Plemi te permet de repérer les villes où tes fans veulent te voir en concert. C'est un outil que tu comptes utiliser à l'avenir ?

Je viens de prendre connaissance de cet outil magique et je vois que personne ne me demande en concert, j'aime beaucoup le concept. Ma mère me demande pas mal en concert depuis que j'ai fait un live pour Dom Corleone Kiris sur Ouï FM. Je crois que je vais cartonner si je joue chez elle, à guichet fermé même, ce sera un véritable tournant dans ma carrière d'artiste à minettes, j'en suis convaincu. Je vous inviterai, elle fait un couscous fabuleux.

Voilà, si vous ne pouvez venir au concert à Paris, il ne vous reste plus qu'à demander Kid With No Eyes en concert chez sa mère (mobilisez-vous, on a envie de goûter son couscous !), ou sinon dans votre ville.

lundi 12 décembre 2011

Interview : The JFK's (+ photos)

The JFK's étaient en concert au Batofar le 29 novembre 2011 dans le cadre des soirées You Rock dont Plemi est partenaire. Ils en ont profité pour répondre à nos questions. Profitons de l'interview pour vous montrer quelques photos de leur prestation scénique (photographies : Vincent Brugère).

The JFK's devant le Batofar

INTERVIEW DE THE JFK'S

The JFK's ce sont les initiales de vos prénoms/surnoms (Junior, Fred, Kevin). Absolument rien à voir avec Kennedy ni avec un aéroport ?

Pour ne pas vous mentir, on voulait que notre nom de groupe soit nos initiales, mais la façon de les agencer est effectivement un hommage à John Fitzgerald Kennedy, qui est quelqu’un que nous apprécions beaucoup pour son action politique.

Kevin (The JFK's) sur la scène du Batofar à Paris


Vous avez joué dans plusieurs salles, à Paris et en région parisienne. Quels sont vos types de lieux péférés ?

Les grosses scènes ! En règle générale on aime jouer partout mais c’est vrai que jouer dans des grandes salles (du genre du New Morning) ça apporte quelque chose. On ne pourrait pas vous expliquer pourquoi mais c’est la où on se sent le mieux...


Après avoir passé les auditions RATP, vous avez obtenu l'autorisation de jouer dans le métro. Les passants prennent le temps d'écouter ce que vous faites ?

On a toujours été très surpris par l’accueil des gens dans le métro, il y a toujours des gens qui s’arrêtent pour nous regarder et pour nous complimenter et c’est extrêmement motivant.

Junior (batteur de The JFK's) sur la scène du Batofar à Paris


Jouer dans ces conditions, cela vous apporte quelque chose pour préparer vos concerts ?

Oui et non, on s’entraine pour la voix et la basse, on est aussi plus proches du public et surtout on peut expérimenter nos nouvelles chansons.
Après, quand on joue sur scène, Kevin est sur une guitare électrique au lieu d’une acoustique, et Quentin est sur une batterie et pas sur un cajun, notre façon de jouer et la sonorité sont quand même très différentes.

Vous êtes depuis peu pris en charge par Dash Production, une structure de production et d'accompagnement d'artistes : c'est un atout pour démarcher les salles et les programmateurs ?

Ils nous aident pour le live, on travaille avec notre producteur en répét' pour bien adapter nos morceaux au live et faire une bonne set list. Ils assurent la communication, les logos, les flyers, etc. Mais ça n’est pas leur but premier.
Ils sont vraiment là pour nous aider à faire grandir nos chansons en les retravaillant en studio, nous aider à mieux gérer nos arrangements et nos prestations, et le plus important, nous produisent un EP 5 titres et réalisent un clip pour faire le buzz sur internet. Tout ça pour atteindre de grandes maisons de disques.

Fred (bassiste de The JFK's) sur la scène du Batofar à Paris

Plemi vous permet de repérer les villes où vos fans veulent vous voir en concert. C'est un outil qui vous paraît utile pour organiser vos prochaines dates ?

On vient de le découvrir et on trouve ça génial, ça va nous permettre de trouver plus de concerts (notre public se plaint souvent qu’on ne joue pas assez) donc on va beaucoup l’utiliser dans l’avenir...

>> Demandez The JFK's en concert dans votre ville ! <<

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