Blog Plemi

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mercredi 16 novembre 2011

Interview de Selim

C'est une salle bien remplie et curieuse qui a accueilli Selim au Batofar mardi 8 novembre pour leur concert participatif. Le groupe a répondu à nos questions sur le live !

Selim

INTERVIEW DE SELIM

Vous aviez fait un "concert secret" en 2010 : il fallait vous envoyer un mail pour recevoir les infos. D'où est venue l'idée ?

Ce concert avait lieu dans l'atelier d'un ami artiste peintre et vidéaste Alexandre Elkouby, qui a souvent travaillé avec nous (pour des projections pendant les concerts, et sur le clip notamment), un endroit très beau mais on pouvait accueillir un nombre limité de personne.
De plus c'était un concert unique, alors que nous étions tous en tournée par monts et par vaux avec d'autre artistes, d'où l'idée de faire un événement spécial.


Est-ce que le concept a plu à vos fans ?

Oui, je crois, et on a d'ailleurs gardé un très bon souvenir de ce concert, qui était une formule mi-acoustique mi-électrique dans un endroit magnifique.


Vous avez des projets précis en ce moment ? (album, tournée, clip...)

Notre premier clip réalisé par Sandra Loterstein, et avec l'aide d'une super équipe, est terminé. On va bientôt le montrer aux gens qui ont travaillé dessus, mais on ne le diffusera qu'avec l'EP. Et justement, on compte sortir notre premier EP début 2012.


Quels sont les axes que vous privilégiez pour promouvoir votre musique ?

Pour l'instant l'Internet est le vecteur principal, des sites comme Noomiz, (nous sommes en ce moment 7ème du top 100), ou Dailymotion (qui a mis une de nos vidéos en page d'accueil) nous ont aidé a élargir un peu notre public. Et le bouche-à-oreille, évidemment, qui reste le meilleur moyen de se faire connaître... Internet, via les réseaux sociaux, est d'ailleurs une sorte de bouche-à-oreille numérique.


Vous misez sur le live pour vous faire connaître ?

Bien sûr. Le live c'est notre raison d'être. De toute façon aujourd'hui le disque est devenu un support pour le live, tandis qu'il y a quinze ans c'était l'inverse : on pouvait même sortir des disques sans faire de concert. Aujourd'hui, à l'exception des artistes liés à la télévision (émissions ou comédies musicales) le disque est souvent de nouveau un aboutissement du live, comme c'était le cas dans les années 60.


Vous utilisez quels outils en ligne et hors ligne pour annoncer vos concerts ?

Facebook, Noomiz, et maintenant Plemi, et on en parle autour de nous bien sûr...


Plemi vous permet de repérer les villes où vos fans veulent vous voir en concert. C'est un outil qui vous paraît utile ?

Tout à fait. Sur notre page Facebook, on a souvent des messages de personnes qui ont découvert le groupe via une vidéo live ou un morceau sur internet, et nous disent "venez dans ma ville", désormais on leur explique qu'il y a un outil fait exprès pour ça ! On a très envie de jouer hors de Paris : si Plemi peut nous aider à cibler les endroits où il serait le plus judicieux d'aller jouer, tant mieux. Et pourquoi pas ensuite monter un concert à la demande pour l'occasion...


Vous avez manqué le concert de Selim au Batofar ? Voici une chronique publiée ce lundi dernier.

vendredi 28 octobre 2011

Interview d'Outer Rim (+ photos du concert au Batofar)

Pour leur premier concert, les Outer Rim ont fait fort : un concert participatif programmé le 25 octobre 2011 grâce au nombre de places vendues sur Plemi (61 sur les 20 nécessaires pour concrétiser la date !), un Batofar bien rempli, et une prestation de qualité !
Une belle entrée en matière pour le EP This is where the fun begins, bientôt disponible. Les 5 membres du groupe (Adrien, Matthieu, Victor, Eric et Tony) ont répondu à nos questions.

Outer Rim (pop / rock)

INTERVIEW D'OUTER RIM

PLEMI : Vous avez fait un concert participatif au Batofar mardi dernier : vous êtes satisfaits de votre prestation ?

OUTER RIM : Globalement oui, pour une première nous sommes plutôt satisfaits de ce que nous avons fait. Les retours à chaud comme à froid on été bons. Maintenant, nous sommes conscients des progrès qu'il nous reste à accomplir, mais tout cela viendra avec du temps et du travail. Nous avons hâte de voir ce que Outer Rim donnera d'ici quelques mois déjà, et apparemment nous ne sommes pas les seuls :)

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Outer Rim au Batofar (25/10/2011). Photo : Laëtitia Ferdinand / Postprod : Hanaofangel


C'était votre premier concert avec Outer Rim. Quelle était votre plus grande crainte avant de monter sur scène ?

Il y avait pas mal de trac dans les loges avant de monter sur scène, surtout pour Matthieu qui rentrait seul ahah. Sérieusement, le Batofar était un gros défi pour nous sachant que début octobre la structure du groupe n'était pas pleinement établie. Nous avons bossé et ce stress nous a motivé, ce fut un bon stress qui nous a permis de travailler et d'avancer assez rapidement.
À nous maintenant de ne pas relâcher la pression. Alors malgré la crainte d'oublier les structures, nous avons pris beaucoup de plaisir sur scène mardi soir et j'espère que nous avons réussi à transmettre ça aux spectateurs.


Sur Facebook, vous avez demandé aux spectateurs de vous faire des critiques (constructives !) : vous en avez retenu quoi ?

Les gens étaient généralement étonnés, vraiment agréablement surpris de notre prestation après seulement 1 mois de travail commun. Passé le stress et quelques ratés qui se sont plus ou moins entendus selon les oreilles, les spectateurs sont généralement curieux de savoir comment le groupe va évoluer.

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Photo : Laëtitia Ferdinand / Postprod : Hanaofangel


This is where the fun begins, votre premier EP, sort bientôt : pendant l'écriture et la réalisation, vous avez pensé à la déclinaison sur scène des morceaux ?

Il faut toujours essayer de se projeter un maximum et de penser à tout, la réussite de l'EP/album en dépend. Nous savons que certaines chansons comme "Down To The Motel" (qui sera bientôt intégrée à l'EP) sera plus utile en fin de set. Certaines chansons beaucoup moins rythmées comme "Time" demanderont une toute autre présence scénique avec une émotion différente, plus planante.
Nous avons un répertoire assez varié, c'est une force musicale, mais à nous de travailler pour le tourner en force scénique aussi : pour le moment ce n'est pas évident, mais encore une fois, soyons patients et travaillons, tout simplement.


Vous êtes inscrits sur My Major Company : vous cherchez uniquement du financement, ou vous attendez d'autres retombées (contact avec vos fans, exposition auprès du public ou des professionnels, etc.) ?

Beaucoup de gens soulignent l'aspect humain de My Major Company. Mardi soir, notre première productrice était présente, et seul ce type de fonctionnement peut permettre une telle rencontre. Nous étions ravis de pouvoir la connaître, la voir tout simplement et savoir un peu plus précisément pourquoi elle a décidé de miser sur nous.
Le site permet une interactivité très humaine qui ne pourrait exister dans un fonctionnement plus "normal" de maison de production. Nous avons écouté ses conseils, et avons essayé de ne pas lui faire regretter sa mise : sa volonté après le concert de remiser nous a énormément touchés.

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Photo : Laëtitia Ferdinand / Postprod : Hanaofangel


Vous envisagez aussi de faire financer vos concerts et tournées ?

Une tournée, un EP, n'importe qu'elle action pour le groupe demande une sortie d'argent et malheureusement les rentrées sont assez rares, alors il faut trouver un moyen de financer tous nos projets et le mécénat peut être une solution en effet ahah.


Plemi permet de repérer les villes où vos fans veulent vous voir en concert. C'est un outil que vous comptez utiliser à l'avenir ?

Bien sûr, ce fut une très bonne expérience que nous renouerons avec plaisir à l'avenir. Les jeunes groupes comme nous ont besoin d'organismes comme Plemi pour lancer un peu leur aventure et/ou l'entretenir, et ce dans les deux sens. Ce genre de rencontres peut toujours aboutir à quelque chose de plus sérieux. Nous remercions en tout cas tous les organisateurs et espérons refaire partis de l'aventure prochainement.


Outer Rim sur le web :

mercredi 19 octobre 2011

Interview d'Adrien Néel

Avec son groupe Adrien Néel & The Losers, Adrien était en concert participatif au Batofar mardi 18 octobre 2011. Une soirée réussie et une présence sur scène qui a ravi un public nombreux : voilà ce qu'on aime chez Plemi ! The Failure, le premier album d'Adrien Néel est disponible depuis le 14 octobre.

Adrien Néel

INTERVIEW D'ADRIEN NÉEL

PLEMI : Tu as un parcours artistique très varié : tu as été batteur de métal, tu as fait du jazz, du chant lyrique... Ton projet musical actuel pop rock, c'est l'étape finale ?

ADRIEN NÉEL : Oui, c'est le fruit de toutes ses influences plus ou moins bien assimilées.



Ce personnage du loser, qu'on retrouve dans le nom de ton groupe (Adrien Néel and the losers) et dans le morceau « Loser » (extrait de l’album The Failure), c'est un concept que tu comptes développer par la suite ? Si oui de quelle façon ?

Oui, nous vivons surement la fin d'une époque et le début d'une autre. Le rockeur, "sex drug and rock'n'roll" est définitivement mort ou ridicule, il a été complètement dépassé par l'individualisme romantique du trader, nouvelle icône du "sex drug and rock'n'rolex".
Le rockeur est devenu un bourgeois qui ne s'assume pas, un vrai loser. Le prochain album essayera de décrire le ridicule de notre civilisation sans en oublier une certaine beauté décadente. Je n'oublie pas non plus que je suis un rockeur donc un bourgeois donc un loser, mais je ne suis pas à une ou deux contradictions près.

Pochette : album The Failure - Adrien Néel


Pour chaque place du concert au Batofar achetée sur Plemi, tu offrais un titre en mp3 : tu penses que ce genre d’offres couplées sont amenées à se développer dans la vente de places de concerts ?

Oui vraiment, ça aide les spectateurs à se familiariser avec l'artiste ou à découvrir un titre inédit. C'est un plus.


Tu as joué dans plusieurs cafés-concerts et bars (Café de la Plage, Cavern, Be There...) : c’est signe d’une préférence pour les lieux intimistes ? Ou bien c’est un encore un peu une contrainte ?

C'est à la fois un passage obligé avant de se retrouver à écrire pour 6 instruments. J'ai commencé par trois (guitare, piano, violoncelle) avec ces concerts. Et c'est aussi la seule opportunité pour un artiste inconnu de jouer à ces débuts sur Paris.


Adrien Néel & The Losers c’est 6 personnes sur scène : vous arrivez à vous organiser facilement pour les répétitions et les concerts ?

C'est difficile mais c'est une question d'organisation et d'adaptation. A 6 sur scène c'est musicalement et visuellement intéressant à condition qu'il y ait de la place. Sinon on joue à 5 ou moins, comme ça va être le cas lors de prochains concerts.

Adrien Néel & The Losers : concert au Batofar (18 octobre 2011)

Adrien Néel & The Losers au Batofar (18/10/2011). Photo : Antonin Kahn


C’est difficile de se faire programmer en concert ou de trouver une salle quand on est autant sur scène ?

Oui bien entendu, si on écoute certains pros c'est (encore) une mauvaise idée. Mais il y a pas mal de groupes qui ont des formations avec de nombreux musiciens car ils offrent un spectacle différent du trio ou du quartet, c'est comme un orchestre.


Plemi permet de repérer les villes où tes fans veulent te voir en concert. C'est un outil que tu comptes utiliser à l'avenir ?

Oui, cette nouvelle plateforme va m'aider dans la recherche de dates, notamment à l'extérieur de Paris. Je vais suivre avec intérêt l'évolution de Plemi qui est un nouvel outil très innovant dans les relations artiste-spectateurs-programmateur.


Adrien Néel sur le web :

mardi 11 octobre 2011

Interview de BLACK BUTTERFLY (concert au Batofar le 11 octobre)

Avant de monter sur scène ce soir au Batofar pour leur premier concert participatif avec Plemi, le groupe de rock Black Butterfly a répondu a nos questions. Ils nous ont notamment présenté quelques morceaux qui seront joués ce soir et nous parlent d'un EP qui sorti le 22 octobre 2011 !

Soirée You Rock du mardi 11 octobre : avec Dope Out, The B-Fore, Back to Babylone (sélections You Rock) et Black Butterfly (sélection Plemi)
Le Batofar (Paris 13è) - 19h30 - 00h30 - 13 euros sur place
Plus d'infos

INTERVIEW DE BLACK BUTTERFLY

Visuel du groupe rock Black Butterfly

PLEMI : Vous aussi vous êtes des "lonely people" ?

BLACK BUTTERFLY : On n'espère pas ! Sinon c'est mal parti pour nous [rires]. Non sérieusement on a la chance d'être bien entourés, le groupe est très récent et déjà de nombreuses personnes suivent assidûment l'avancée de notre projet musical. Des partenaires également, je pense aux copines d'I Scream Asso, Karim MEG, Guillaume Mauduit, et j'en passe.



D'où est venue l'idée de ce titre ?

C'est un sujet que Vincent, le chanteur, voulait traiter depuis un moment, on a trouvé que la musique s'y prêtait bien, donc voila.
Le titre est venu naturellement une fois la totalité des paroles écrites.


Vous sortez bientôt un EP, vous travailliez dessus depuis combien de temps ?

Oui ! Il sort le 22 octobre.
On travaille dessus depuis maintenant un an et demi. On a eu des problèmes de line up et des évènements assez difficiles qui ont repoussé sa création, mais là ça y est, il est bien là ! On a été l'enregistrer en juin dernier au sein des Studios Sainte Marthe avec Guillaume Mauduit.
C'est notre première expérience de studio à tous. On a beaucoup appris, c'est vraiment une étape qui fait grandir musicalement, je pense. On espère renouveler ça très prochainement.


Vous jouez déjà les titres de l'EP sur scène ?

Il y a des titres comme "If only I" ou "Separate Ways" qui ont été composés il y a déjà pas mal de temps, donc naturellement nous les avons souvent joué sur scène un bon nombre de fois. "Lonely people" et "Never give up" n'ont été joués que deux fois, très peu de temps avant l'enregistrement de l'EP, histoire de voir ce que notre public en pensait.
Néanmoins, on a depuis composé de nouveaux morceaux qui sont encore totalement inédits, ils seront joués pour la première fois lors de notre concert au Batofar le 11 octobre.


Qu'est-ce qui vous plait le plus dans les concerts ?

La proximité avec les personnes, bien évidemment. Les discussions que l'on peut avoir avec les gens venus nous voir, ce sont vraiment des moments que l'on apprécie.
Et puis aussi et surtout parce qu'il n'y a pas de meilleur moment pour un musicien que de jouer sa musique en live. On a travaillé dur sur chaque morceau, donc on a envie de le faire partager.
Et puis on ne joue pas de la musique seulement pour nous, sinon on resterait dans notre garage.


Plemi propose à vos fans de pré-réserver leurs places sur Internet. Vous vous y prenez comment d’habitude pour vendre vos places de concerts ?

C'est vraiment une bonne idée que de proposer ce service ! Les gens n'y sont pas encore habitués donc frileux je pense, mais c'est vraiment pratique !

Sinon on fait ça simplement en allant directement donner les places aux personnes souhaitant venir, mais c'est vrai que ce n'est pas très pratique, surtout quand il y a beaucoup de monde (mais on ne va pas se plaindre ;) )


Vous utilisez quels outils en ligne et hors ligne pour annoncer vos concerts ?

On est pas très très branchés sur les sites du genre Twitter, etc. Donc nous ça reste quasi-exclusivement Facebook, on peut vraiment toucher beaucoup de monde. Après, le téléphone aussi beaucoup.


Plemi vous permet de repérer les villes où vos fans veulent vous voir en concert. C'est un outil que vous comptez utiliser à l'avenir ?

Oui vraiment ! Le concept Plemi est très intéressant, ce serait vraiment dommage de ne pas utiliser un service tel que celui-ci ! Enfin un concept qui sert vraiment les musiciens !


Black Butterfly sur le web :

Et en concert ce soir au Batofar !

lundi 3 octobre 2011

Interview de NEMOST (concert au Batofar le 4 octobre)

Nemost a validé son concert participatif au Batofar avec 30 places pré-réservées sur l'objectif initial de 20. Et ils continuent d'en vendre ! En attendant de les voir mardi soir secouer la scène de la soirée You Rock avec leur metal mélodique, ils répondent à quelques questions : on a parlé de concerts, bien sûr.

Réservez votre place pour voir NEMOST + 5 groupes rock !

(10 euros en prévente / 13 euros sur place)


INTERVIEW DE NEMOST

Nemost en concert

PLEMI : Vous avez atteint et même dépassé le nombre de places nécessaires pour être programmés au Batofar le mardi 4 octobre 2011, ça a été facile pour vous ?

NEMOST : Facile je ne dirais pas ça, mais on a fini par y arriver ! Beaucoup de gens ont l'habitude d'acheter leur place de concert dans les derniers jours, voire sur place. Là on a fait autant de pub qu'on a pu, notamment via les réseaux sociaux, en insistant bien sur l'aspect participatif du concert et on a eu la chance que suffisamment de personnes répondent à l'appel.


Plemi propose à vos fans de pré-réserver leurs places en ligne. Vous vous y prenez comment d’habitude pour vendre vos places de concerts ?

En règle générale c'est des pré-ventes qu'on leur vend en main propre.


Vous allez jouer pendant une soirée You Rock au Batofar en plus de 5 autres groupes. Quelles sont vos techniques pour faire la différence sur scène ?

Le jeu de scène est très important pour nous : on sait que les gens ne viennent pas juste écouter de la musique mais aussi voir un spectacle. On tient à ce que chaque spectateur se dise à la fin du concert qu'il n'est pas venu pour rien, même pour ceux qui n'ont pas l'habitude d'écouter du metal.


On parle beaucoup des difficultés qu’ont les groupes à trouver des concerts. Vous qui faites du metal, même mélodique, vous ne galérez pas un peu plus ? Les programmateurs ont-ils des a priori ?

C'est sûr que pour nous, les piano-bars il faut oublier !

Je crois qu'à notre niveau, chaque groupe doit avant tout viser sa « communauté ». On sait qu'il y a des salles qui sont ouvertes au metal et d'autres moins, qu'il y a des associations spécialisées : il faut frapper aux bonnes portes. Mais le plus souvent ce sont les groupes qui organisent eux-même les concerts en invitant d'autres groupes qu'ils connaissent.


Pour faire des concerts, vous démarchez vous-mêmes les salles ou bien quelqu’un s’en occupe pour vous ?

On s'en occupe nous-même, pour l'instant. Mais si on trouve quelqu'un qui nous propose un bon deal on étudiera sa proposition parce que c'est quand même beaucoup de boulot.


Vous êtes accompagnés par plusieurs sponsors : c’est un gage de confiance pour se faire programmer ?

Effectivement cela fait environ 2 ans maintenant que nous avons signé nos premiers contrats d' endorsements. L'idée de base était de gagner en crédibilité grâce au gage de confiance mutuelle que revêt un contrat d' endorsement.

Je pense que cela participe aussi à montrer notre sérieux ainsi que notre volonté de vouloir faire les choses bien et de se prendre en main.

C'est ainsi qu'après un premier contrat avec Velvet pour les cymbales, ont suivi les guitares Fernandes, les amplis Bogner et dernièrement les batteries Mapex !

Je serais programmateur, je préfèrerais faire venir un groupe qui a signé quelques contrats d' endorsements plutôt que les branleurs de service qui viennent sans baguettes ni médiators et qui pensent qu'on va tout leur prêter.


Vos sponsors vous font-ils participer à des concerts promotionnels ?

On va leur en parler, tiens !


Vous utilisez quels outils en ligne et hors ligne pour annoncer vos concerts ?

Évidemment Facebook a pris de plus en plus d'importance dans le monde de la musique donc on n'hésite pas à s'en servir, Myspace ayant perdu l'essentiel de ses utilisateurs.

Dans le monde réel, on en parle un maximum autour de nous, on fait des flyers, des affiches... À l'ancienne !


Plemi vous permet de repérer les villes où vos fans veulent vous voir en concert. C'est un outil que vous comptez utiliser à l'avenir ?

C'est un outil intéressant, c'est sûr. Si on est particulièrement demandé quelque part ça nous incitera à y aller.


Cette interview vous a plu ? Écoutez la musique de Nemost sur leur page Myspace et sur Facebook, et retrouvez-les mardi 4 octobre au Batofar !

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